Faune et flore

La faune de Bretagne

 

La faune en Bretagne est riche, dense et variée grâce à ces environnements marins mais également continentaux, voire montagneux. Mais il ne fait pas de doute que la plus grosse densité d’animaux se concentre avant tout sur les littoraux bretons et encore plus particulièrement sur les côtes septentrionales de la Bretagne. La faune bretonne y fait figure de trésor naturel reconnu au plan national.

La faune littorale bretonne est principalement représentée par les oiseaux, les mammifères marins ainsi que les mollusques et crustacés. En voici trois exemples :

 

  • Le pingouin torda est le dernier pingouin au monde depuis l’extinction du grand pingouin au milieu du XIXème siècle. Il subsiste sur les littoraux de la pointe du Raz et se trouve très menacé en France du fait de son petit nombre : moins d’une trentaine de couples.

  • La faune en Bretagne ne serait pas ce qu’elle est sans le fameux phoque gris qui se reproduit aux alentours de Molène et Ouessant, dans la mer d’Iroise.

  • L’ormeau se plaît en Bretagne et l’ormeau plaît aux papilles. Mais saviez-vous que ce mollusque aux yeux clairs se raréfie de plus en plus à l’état sauvage ?

 

La faune de Bretagne doit être préservée de l’activité humaine qui se doit d’avoir un impact minime sur leur environnement. Les marées noires sont à chaque fois des catastrophes majeures pour l’écosystème et le tourisme doit pouvoir s’effectuer avec conscience et respect de la faune bretonne.

 

La flore de Bretagne

 

La flore végétale bretonne est à prédominance hygrophile, qui apprécie l’humidité. Vous retrouverez donc une grande diversité de plantes peu communes aux alentours des littoraux, lacs et autres rivières.

Pour citer un exemple de plante endémique et caractéristique de la flore de Bretagne, nous pouvons avancer le narcisse des Glénan. Cette espèce de narcisse protégée est observable sur l’archipel des Glénan et plus particulièrement sur l’île Saint Nicolas, au sud de Fouesnant. Les visiteurs affluent chaque année pour scruter la floraison éphémère de cette fleur fragile.

 

En parlant d’une autre plante protégée et préservée, le panicaut vivipare est une espèce rare présente uniquement dans le Morbihan sur un petit km². Préférant les mares et les eaux stagnantes, elle est désormais classée comme étant “en danger”.


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